L’arrivée d’un nouveau président à la Maison-Blanche n’a pas que des répercutions sur Terre. Donald a aussi des idées pour adapter Station Spatiale Internationale (ISS) à son goût.
L’événement est de taille, même si peu couvert par les média: soit en raison de l’abondance des frasques du nouveau président, soit en vertu de la loi journalistique du nombre de victimes par kilomètre: une moyenne de 6 personnes à bord à 400.000 km, difficile de scorer moins !
La science en berne
Partant des constats que les expériences dans l’impesanteur perturbée par la masse de l’ISS (±450 tonnes) sont peu rigoureuses et avantageusement reproductibles sur terre; que maintenir des humains en permanence dans l’espace est plus une question de prestige que de science et que de toute façon, c’est lui qui paye; le président propose une réorientation de la station.
L’Iᛋᛋ selon Donald
Les travaux commenceront par l’ajout de deux modules supplémentaires: un premier module, de type Guantánamo, constitué de simples barres métalliques, sans système de support de vie, pour les astronautes musulmans et un second module, de type Wrap, entièrement muré pour les astronautes mexicains.
Enfin, après quelques transformations, le module avec les néons mauves accueillera les collègues de la Première dame: des prostituées des pays de l’Est.
Le président nous montre une fois de plus qu’il n’a aucune limite pour essayer de faire plus fort que les autres: quitte à s’envoyer en l’air, autant le faire vraiment très haut!
“Toute ma vie, j’ai rêvé d’être une hôtesse de l’air … Toute ma vie, j’ai rêvé d’avoir, d’avoir les fesses en l’air… ” (Dutronc)