On n’arrête pas la mafia le progrès. Les grands patrons du Nord se demandaient où écouler toutes ces bonnes protéines animales périmées ou invendables. La solution est pourtant simple: chez ces bobos de végétariens fans de tofu ! On n’en est plus à quelques étiquettes falsifiées de plus ou de moins.
Il s’agit d’abord de faire faillite pour ré-ouvrir aussitôt ce si bel outil indispensable à la poche des parvenus l’économie locale (les intercommunales n’ayant plus trop la cote actuellement). Ensuite on engagera des collaborateurs encore plus sourds; muets et aveugles (si l’ONEM ne peut les fournir, quelques gros bras Kosovars peuvent se charger de leur formation). Enfin, le plus important, il faudra penser à être moins radin dans la distribution d’enveloppes et arroser un peu plus que les contrôleurs et quelques politiques.